Article de la CAF sur les enfants dits « trans », dysphorie de genre et transitions : Olivia Sarton, directrice juridique de Juristes pour l’enfance, décrypte le phénomène idéologique de la théorie du genre
Elle était interrogée dans l’émission Ligne Droite sur Radio Courtoisie.
Émission à écouter ICI à partir de 0:47:10
« La question du malaise de ces jeunes est prise en compte de manière totalement autonome et indépendante. Comme si elle ne pouvait se relier à rien d’autre. La dysphorie ne pourrait se résoudre que par une intervention dite d’affirmation sociale puis médicale ; faute de quoi la vie du jeune pourrait être mise en danger. »
La menace du suicide sans cesse brandie aux parents
« Selon cette page militante de la CAF, les parents sont sommés d’accepter ce genre ressenti par l’enfant ; faute de quoi leur enfant se suiciderait ».
« On leur explique qu’il n’y a pas d’autres solutions pour résoudre le mal être de leur enfant que cette transition sociale et plus tard médicale. Or, on sait qu’aujourd’hui, les jeunes vont mal. Tous les indicateurs sont au rouge. Ce sentiment qui se développe chez les jeunes de ne pas se reconnaître dans un genre déterminé, il faut le rapporter à tout le mal être des jeunes dans la société.
Nous avons par exemple aujourd’hui des taux de phobies scolaires qui n’existaient pas il y a 30 ans. Nous avons également phénomènes d’autisme extrêmement importants. En Angleterre par exemple, 35% des enfants pris en charge dans la clinique Tavistock étaient en réalité des enfants qui souffraient d’autisme. »