Article d’Olivia Sarton paru dans le bimensuel L’Homme Nouveau du 6 novembre 2021
Le 29 septembre 2021, une circulaire « pour une meilleure prise en compte des questions relatives à l’identité de genre en milieu scolaire » a été dévoilée par le ministère de l’Éducation nationale.
De quoi s’agit-il ?
Les questionnements identitaires ont toujours existé chez les enfants, se traduisant chez un petit nombre par un véritable mal-être face à leur identité sexuée. Pour la majeure partie d’entre eux (de 61 à 90 % selon les études publiées]), le trouble cesse une fois passée la puberté.
Mais, depuis quelques années, on observe une augmentation importante du nombre de mineurs affirmant avoir une identité de genre ressentie déconnectée de leur identité biologique sexuée. Cette affirmation est couplée avec une demande de reconnaissance conforme par les tiers : des filles demandent à être identifiées comme des garçons et inversement.
Cela concernerait désormais plus d’un millier d’enfants en France, majoritairement des adolescentes.
Parallèlement, l’approche prudente du questionnement identitaire des enfants, impliquant souvent un accompagnement psychologique, se voit disqualifiée au profit d’une approche « trans-affirmative ». Celle-ci prône l’absence de discussion du « ressenti » et la mise en œuvre d’une « transition sociale », soit l’identification par les tiers selon le genre revendiqué avec généralement un changement de prénom et de pronom.
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